Parfaitement libre,
Dénué de toute contrainte,
Pourtant enfermé dans l’étreinte,
D’un carcan étourdi.
Tournant dans la pénombre,
Plein de pensées furtives,
S’ouvre comme on inonde,
Lorsque les muses y vivent.
Ce bout de corps,
Tant vital que futile,
Qui me torture encore,
D’oublis si inutiles.
Ne laisse pas s’échapper,
Comme l’oiseau de sa cage,
Toutes ces belles idées,
Qui me laissent en nage.
Retiens les belles paroles,
Garde-les tout au fond,
Que sur papier d’école,
Je puisse grimer et signer de mon nom.
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