Perché sur sa branche,
Le jeune coq tente sa chance.
Il s’égosille à chanter le réveil,
Bien qu’à l’horizon ne pointe nul soleil.
Il cri tant et si bien,
Que la basse cour entière se lève.
Le jeune coq, fier de lui,
Plein de bons sentiments,
Dresse le torse et se pavane gaiment.
Empli de cette fierté,
Oh combien mal placée,
Il ne voit pas dans son dos,
Arriver la fourche du fermier.
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