L’envie nous apporte la joie, le plaisir des amis,
l’agréable senteur de la vie, mais je ne m’y ferai pas.
Je resterai à jamais l’éternel étranger au désir de jouer avec cette vie,
qui de plein fouet, m’a frappé à l’âge de ma naissance
par une brutale descente dans ce monde de souffrance.
Pris dans une bataille entre l’humain et la terre,
entre la richesse et la misère, du fidèle et de l’adultère.
Je ne vis que pour construire un semblant d’avenir,
pour me faire accepter dans ce monde avant d’en partir.
0 commentaires